Il est devenu essentiel de lutter contre la fragmentation du territoire qui gêne ou empêche la libre circulation des êtres vivants : l’urbanisation et ses murs, les clôtures, les voiries. Chacun peut, dans sa propriété, rendre des clôtures perméables ou encore mieux, ne pas en faire.
- Les haies exotiques (thuyas, lauriers-cerises) forment des murs végétaux inhospitaliers. Pour séparer votre terrain de celui du voisin, plantez des arbustes locaux (cornouillers, noisetiers…). Leurs fleurs et leurs fruits fourniront gîtes et couverts aux papillons et oiseaux lors de leurs déplacements.
- Lorsqu’elles sont chauffées par le soleil, les allées et cours goudronnées deviennent infranchissables pour les insectes et peu engageantes pour de nombreux petits mammifères.